Le cadeau que Dieu m’a fait n’est pas celui de ne jamais trébucher et tomber, mais celui de toujours pouvoir me relever et retrouver l’équilibre qui me permet de continuer à marcher. Il n’a pas empêché mes déroutes, mais a sans cesse dirigé mes pas pour que je retrouve le chemin. Il n’a pas enlevé ma faiblesse mais il m'a offert son bras comme appuie pour que je puisse prendre de plus en plus conscience de sa présence à mes côtés. Heureuse faiblesse, heureuse pauvreté, heureuse faute qui m’a valu un tel rédempteur.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
-
Thank you to all those who expressed their condolences to my family and me. Your thoughts, prayers and expressions of affection are greatly ...
-
Il m’arrive d’être en train de lire quelque chose, de m’arrêter et de me demander, « Qu’est-ce que je viens de lire? » Pour quelques seconde...
-
I had a crazy dream last night. Not a nightmare this time, but a strange one that made me wonder, “Why would my subconscious need to manuf...
-
Here is something I wrote a quarter of a century ago (says the old man!): When we have known a person for a long time, we become able to j...
-
La parole de Dieu est une semence qui porte le fruit que Dieu veut qu’elle porte : « La pluie et la neige qui descendent des cieux n’y ret...
-
Voici un petit conte inspiré de paroles de Sainte Élisabeth de la Trinité. Un oiseau, n’ayant pas encore appris à voler, était enfermé dans ...
No comments:
Post a Comment